1. |
Ewig and Forlorn
02:53
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2. |
L'amour en sangles
04:37
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Alors que tombe la brume,
Abrupte la faille du soir.
Elle me revient en brune
Si brute entaillée d'espoir.
Pars les nuits de mi-lune
Elle arpente les contreforts
La première enceint e aux dunes
Elle se perd, les dévore
Je ne sais ou elle part si souvent
Je ne sais que ses yeux ouverts en grand.
L'amour en sangles...
L'amour ensemble...
Si elle caresse l'écume
Qu'elle épouse le sable
En attendant elle allume
Des flammes multicolores
De la peine qu'elle consume
Des charmes lances des sorts
Ecrit dans ses coutumes
La foudre, la mandragore
Je ne sais ou elle va si souvent
Je ne sais que ses yeux ouverts en grand.
L'amour en sangles...
L'amour ensemble...
Si elle prédit ma fortune
Ce ne sera qu'après ma mort
Maudissant a titre posthume
Les amours de métaphore
Lorsqu'elle quitte son costume
L'âme vengeresse au corps
Dans la bruine vêtue d'une plume
Elle ouvre les bras et s'envole
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3. |
Die Brücke der Gehängten
04:02
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Wir warfen unsere liebe
über die brücke der gehängten
Und blieben da bis zum nächsten tag
Um unseren träumen
Beim ertrinken zuzusehen
Um uns noch einmal zu belugen
Du warst die letzter
Das nächste ende zu fühlen
Du horste die leute beweinen
Refrain
Ermorde mich
Verlasste dich
Begnadige mich
Verlurteile dich
Sie sagen dass die leute
Gut und mutig sing
Wärend alle sich niederwarfen
Die schlagfelder sind voll
Mit schonen und guten mannen
Alle in der abendsonne gestorben
Und alle ihre kinder
Werden in kreis tanzen
Um neue verbrachen zu erleben
Ein tag wir kommen
Da öffnen wir den weg
Um unsere träumen nachzugehen
Wir warfen unsere Körper
über die brücke der gehängten
Und schwamen bis zum ufer
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4. |
Metadata 666
04:42
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5. |
Le Jardin du Diable
03:19
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Dans le jardin du diable
Je cultivais les fleurs du mal
J'émorfilais mes armes
Pourpres à mon sang, a mes larmes
Dans le jardin d’Eden
Des anges étalaient leurs ailes
Au couleur des éthers
Dans le jardin du diable
Se répandait mes humeurs sales
Noires et visqueuses comme le sable
Brulant mes yeux, a sa flamme
Dans le jardin d’Eden
Les arbres aux reflets vermeil
Aux lumières attendant que je ne
Revienne
Dans le jardin du diable
Bienvenue cher convive
Prends part au festin a cote de moi
à ce qu’on murmure dans mes coursives
Tu donnes ton âme a qui la voudra
Mais c’est ton cœur que je veux aujourd’hui
Pour en nourrir chacune de mes envies
Ne me fait point attendre
Glisse la lame sur la pente
A la table du diable
Je laissais mon cœur a défaut de mon âme
Franchissant la porte aux entrailles
Dans la pénombre tant d’extase
Dans le jardin d’Eden
Que je ne reverrais plus
Les anges pliaient leurs ailes
A demain
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6. |
Lydia
03:56
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Le premier qui se lève
S’en va trop vite
Claquant la porte
Avant le silence
Mais Lydia n’oublie pas qu’avant de se connaitre
Il faudra laisser passer bien des nuits
Le premier qui quittera
Prendra l’avantage
D’être intouchable
Avant la blessure
Mais Lydia n’oublie pas qu’avant de se haïr
Il y aura encore tant d’étreintes
Tout ce qu’on glisse… et puis plus rien
Tout ce qui nous glisse entre les mains
Lydia parfois j’y repense
Le premier qui se déclare
Ne le pense pas
Des mots en vain
Avant le silence
Mais Lydia n’oublie pas qu’avant de s’aimer
Il se peut qu’on ne dise rien
Le premier qui se livre
Perd ces défenses
Seulement un temps
Avant la vengeance
Mais Lydia n’oublie pas combien tu peux compter
Combien tu peux manquer aussi
Le premier qui fatigue
Ne se relève pas
Un dernier regard
Avant la souffrance
Mais Lydia souviens toi de ces moments tendres
Car le reste est déjà presqu’oublié…
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7. |
Les Mondes Barbares
03:28
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Lassé d'ici
Et des panoplies
Des opercules percés à l'envie
Pour que se déversent les images et le son
Pour que se dispersent la lutte et les mots
Car ceux qui courent, les bêtes qui hurlent
Et tout les autres dans les tribunes
Pour le grand spectacle ou les clowns
Gagnent leur perte la corde au cou
C'est pas moi qui l’écris,
C'est l'autre qui le fait
Et je lui dis c'est çui qu'est mort qui y est
Ya plus d'autres secrets dans les programmes
Ya que des monarques aux assemblées nationales
Noyé dans la masse, enfermé dans la toile
Enrôlé de force dans les légions muettes
Aveugles et sourds au reste autour
Les chaines aux poings on acclame tout
C'est l'histoire des mondes barbares
C'est l'histoire de mon monde
C'est l'époque des nouveaux tsars
Sans révolution.
Les sports truqués
Les nouvelles du monde
Les bénéfices les faillites
Les promesses les mensonges
Manipulation
Pourvu qu’il y ait du spectacle
Car ceux qui restent pour les vautours
Ceux qui tombent dans la course
Les écrasés, les écartelés
La corde au cou on regarde tout
C'est l'histoire des mondes barbares
C'est l'histoire de mon monde
C'est l'époque des nouveaux tsars
Sans révolution.
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Vincent ECKERT Strasbourg, France
NOUVEL ALBUM - 2018/2019
Vincent ECKERT, auteur, compositeur, interprète poursuit
son chemin musical depuis 1999 et creuse son sillon dans la chanson française, guidé par des valeurs de sincérité, de sensibilité et d'indépendance.
Un répertoire polymorphe, aux influences allant du rock à la musique ethnique en passant par la chanson, le folk, l'electro et la poésie.
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